I, i ! Be de vrai,
Ditz lo Petit Frair.
Ce que fau,
’quo ’s l ’argent a l ’apèl,
Ditz Marcèl.
As barrat la pàrta en clau ?
Dishut lo Marenau.
N ’avî mèi qu’una;
me l ’an prisa,
Dishut Elisa.
A ! Lo grand gormand !
Dishut Fernand.
Passèren per la portaleta.
Dishut la Segoneta.
Non, non ! Per lo portau,
Dishut lo Granhau.
Avèn obèrt lo galinèir,
Dishut lo Jardinèir.
M ’auràs la pèth !
Dishut Cadèt.
Mes pas la mèna !
Dishut l ’Adrièna.
Hi, hi ! C’est bien vrai,
Dit le Petit Frère.
Ce qu’il faut,
c’est de l’argent à l’appel,
Dit Marcel.
As-tu fermé la porte à clef?
Dit le Marenau.
Je n’en avais qu’une ;
on me l’a prise,
Dit Élise.
Ah ! Le grand gourmand !
Dit Fernand.
Ils sont passés par la petite porte,
Dit Segonette.
Non, non ! Par le portail,
Dit le Gragnaou (Grenouille).
Ils avaient ouvert la trappe,
Dit le Jardinier.
Tu m’auras la peau !
Dit Cadet.
Mais pas la mienne !
Dit Adrienne.
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